Le récit des opérateurs culturels
Récit de l’atelier marionnette : Musée des arts de la marionnette – Isabelle Peteers
Lundi 10 octobre 2022 de 8h30 à 12h10
Premiers contacts avec les enfants et leurs enseignantes.
Qu'est-ce qu'une marionnette?
Suivant les ateliers d'écriture réalisés avec les classes de 3e et 4e primaires que pourrions nous construire comme personnages?
Remarque : les textes n'étant pas les textes définitifs et les enfants de P1 et P2 ne s'y retrouvant pas vraiment, nous avons décidé avec les enseignantes de laisser les enfants choisir leur personnages. D'autant plus que les marionnettes n'interviendraient qu'en intermède et pas comme personnages réel dans l'histoire.
Les enfants ont choisi et dessiné leur personnage. Ils ont choisis leurs tissus pour la tête et les vêtements.
Nous avons coupé les têtes dans le tissu pour que je puisse les coudre afin de les avoir pour la séance suivante.
En P1 les enfants ont choisi les animaux, des sirènes et un pinocchio
En P2 ils ont plutôt choisi des fées et des rois + quelques animaux.
Jeudi 13 octobre 2022 de 8h30 à 12h10
Chaque enfant récupère la tête de sa marionnette et ensemble nous construisons le reste de la marionnette pour qu’elle ressemble le plus possible à leur personnage dessiné.
Les enfants passent 1 à 1, les deux institutrices travaillent avec moi.
Il est important pour moi, en temps qu’animatrice de passer ce temps de construction avec l’enfant et d’échanger avec lui sur la façon dont il-elle voit son personnage.
Nous avons travaillé principallement avec de la récup, en ce qui concerne les tissus
Mardi 18 octobre 2022 de 8h30 à 12h10
Les enfants avaient appris deux chansons par classe. Notre objectif était de les faire chanter avec les marionnettes.
Nous avons commencé par de petits jeux et exercices de manipulation. D’abord sans marionnette (jeu de regards, d’attention, de coordination, décortiquer les mots par syllabes et les mimer avec la main en pince) ensuite avec la marionnette (mêmes exercices).
En fin de séance, ils ont chanté avec leur marionnette.
Lors des exercices de manipulations, nous avons pu constater que certains élèves qui, en général, avaient des difficultés à s'exprimer oralement sont "sortis de leur coquille". L'exercice de prononciation des syllabes pour faire parler les marionnettes fut vraimant intéressant et concluant.
Lundi 10 octobre 2022 de 8h30 à 12h10
Premiers contacts avec les enfants et leurs enseignantes.
Qu'est-ce qu'une marionnette?
Suivant les ateliers d'écriture réalisés avec les classes de 3e et 4e primaires que pourrions nous construire comme personnages?
Remarque : les textes n'étant pas les textes définitifs et les enfants de P1 et P2 ne s'y retrouvant pas vraiment, nous avons décidé avec les enseignantes de laisser les enfants choisir leur personnages. D'autant plus que les marionnettes n'interviendraient qu'en intermède et pas comme personnages réel dans l'histoire.
Les enfants ont choisi et dessiné leur personnage. Ils ont choisis leurs tissus pour la tête et les vêtements.
Nous avons coupé les têtes dans le tissu pour que je puisse les coudre afin de les avoir pour la séance suivante.
En P1 les enfants ont choisi les animaux, des sirènes et un pinocchio
En P2 ils ont plutôt choisi des fées et des rois + quelques animaux.
Jeudi 13 octobre 2022 de 8h30 à 12h10
Chaque enfant récupère la tête de sa marionnette et ensemble nous construisons le reste de la marionnette pour qu’elle ressemble le plus possible à leur personnage dessiné.
Les enfants passent 1 à 1, les deux institutrices travaillent avec moi.
Il est important pour moi, en temps qu’animatrice de passer ce temps de construction avec l’enfant et d’échanger avec lui sur la façon dont il-elle voit son personnage.
Nous avons travaillé principallement avec de la récup, en ce qui concerne les tissus
Mardi 18 octobre 2022 de 8h30 à 12h10
Les enfants avaient appris deux chansons par classe. Notre objectif était de les faire chanter avec les marionnettes.
Nous avons commencé par de petits jeux et exercices de manipulation. D’abord sans marionnette (jeu de regards, d’attention, de coordination, décortiquer les mots par syllabes et les mimer avec la main en pince) ensuite avec la marionnette (mêmes exercices).
En fin de séance, ils ont chanté avec leur marionnette.
Lors des exercices de manipulations, nous avons pu constater que certains élèves qui, en général, avaient des difficultés à s'exprimer oralement sont "sortis de leur coquille". L'exercice de prononciation des syllabes pour faire parler les marionnettes fut vraimant intéressant et concluant.
Le récit des opérateurs culturels
Je suis contente du résultat et d'avoir participé à l'aventure puisque cela m'a apporté une expérience nouvelle et une expérience humaine.
J'ai rencontré des artistes avec lesquelles je pourrais surement travailler dans le futur et appris beaucoup de choses sur le street art qui me serviront.
Cependant, je crains que cela soit difficile à l'avenir de gérer plusieurs labo-projet (puisque nous sommes une petite commune isolée) tout en continuant mon travail d'animatrice culturel.
J'ai rencontré des artistes avec lesquelles je pourrais surement travailler dans le futur et appris beaucoup de choses sur le street art qui me serviront.
Cependant, je crains que cela soit difficile à l'avenir de gérer plusieurs labo-projet (puisque nous sommes une petite commune isolée) tout en continuant mon travail d'animatrice culturel.
Le récit des élèves
Très bon retour des élèves, qui ont été ravis de bénéficier de ces ateliers. Cela aura permis, surtout, à pas mal d'enfants de connaître d'autres enfants qui ne sont pas de leur classe ni de leur cercle d'amis. Si certains ateliers n'avaient pas été choisis par les enfants, ceux-ci ont dit avoir découvert des formes d'art qui finalement leur ont plu. Le dépassement de soi a été ici rencontré dans chaque atelier.
Le récit de l'équipe pédagogique (direction, enseignants)
L'équipe est ravie. La direction comme les enseignants ont vraiment apprécié ces trois jours hors du commun, et ces activités, directement en phase avec leur projet d'école (bien-être, bienveillance). Bien sûr, l'énergie consacrée a été soulignée, mais vu le résultat, tout le monde est satisfait. Hervé a rappelé à la directrice et aux déléguées PECA qu'un projet PECA ne doit pas être toujours si ambitieux, et qu'il existe d'autres dispositifs à enclencher. Pour mémoire, 7 ateliers sur les 15 avaient été pris en charge par les enseignants qui se sont vraiment investis et donc, n'ont pas pu vivre les autres ateliers. La direction propose, pour une éventuelle prochaine fois, de faire un débriefing après la 1ère journée d'ateliers, afin de partir sur un bon pied pour les 2 jours suivants.
Le récit du référent culturel
Je suis passé voir les ateliers, durant une demi-journée. Tous les enfants participaient volontiers, et j'ai été impressionné par cette diversité d'ateliers mise en place : des arts plastiques au stop motion en passant par l'expression corporelle, la poésie, le land art, le cirque, ... Pour moi, c'est un projet totalement réussi, quand j'entends les retours des uns et des autres. Je m'interroge juste sur la pérennisation d'un tel projet, qui rassemblait tellement de choses, en plus de toutes les oeuvres des enfants qui vont figurer dans l'école. La direction m'a dit que des invitations d'auteurs sont prévues dans l'école.
Le récit des opérateurs culturels
Dans l'ensemble, les opérateurs sont satisfaits. Il y a eu le souci des déplacements de Rémi (stop motion) qui n'avaient pas été prévus dans le budget de départ (la cause principale étant qu'il a été invité plus tard par un autre opérateur et donc n'a pas pu participer aux diverses réunions préparatoires). Christine a donc dû résoudre ce souci (? Christine, complète-moi si jamais). Dimitri (fresque)s'est rendu compte qu'il devait être autant animateur que garant d'un produit fini et que, finalement, le budget qui lui était imparti était peut-être inférieur à la réalité. En effet, les opérateurs se sont rendus compte que, au vu de ce nombre d'ateliers, le budget réel était peut-être insuffisant. Guillaume, lui, a relaté le temps de travail : en effet, les enfants passaient d'un site à un autre et il y avait là une certaine perte de temps, ce qui fait qu'il travaillait effectivement 4 heures sur sa journée. Céline ajoute qu'il faudrait une info quant aux enfants qui nécessitent des besoins spécifiques; ainsi, le sachant, elle peut ajuster ses consignes.
Le récit du (des) artiste(s)
RetourChristian_Merveille.docx (23.9kB) EvalGuillaume_Projet_PECA22.docx (26.0kB)
Le récit des élèves
les enfants ont vraiment aimé le spectacle, les bulles c'est féérique!!!ils ont aussi apprécié le dialogue installé en fin de spectacle. Après ,voir les artistes dans l'école et pouvoir partager un bon moment avec Tim était assez magique pour eux et a pu combler certaines "frustrations" vécues au moment des questions réponses à la fin du spectacle (et oui tout le monde n'avait pas su s'exprimer)
la dernière partie de l'animation de pouvoir visiter l'envers du décor les a ravis et ils sont revenus comblés de cette visite
{ size="original" class=}}{{attach file="20221122_092211.jpg" desc="image 20221122_092211.jpg (1.0MB)" size="original" class=}} Les enfants adorent assister à des spectacles. Ils ont beaucoup apprécié Tim bulles. Ils aiment aussi découvrir ou entendre parler de ce qu'était la vie avant...(musée, quotidien des gens autrefois, comparaison avec leur quotidien) (P1)
Les élèves ont été fasciné par la présentation des instruments et ont aimé les manipuler. (M1B)
la dernière partie de l'animation de pouvoir visiter l'envers du décor les a ravis et ils sont revenus comblés de cette visite
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Les élèves ont été fasciné par la présentation des instruments et ont aimé les manipuler. (M1B)
Le récit de l'équipe pédagogique (direction, enseignants)
merci aux artistes et aux membres de la maison culturelle pour cette belle découverte, spectacle magnifique avec un très beau message ,rencontre avec les artistes pour une chouette animation qui a captivé les enfants et finir avec la visite très intéressante des coulisses de la maison culturelle. Projet bien mené, bien abouti et à refaire quand vous le voulez
Sortir de sa classe n'est pas toujours facile. (temps,déplacement) Les sorties me semblent d'autant plus importantes quand elles nous permettent d'apprendre. J'ai beaucoup apprécié la découverte de l'envers du décor au Staquet mais aussi la visite guidée du musée de folklore...!(P1)
L'activité sur les instruments de musique a été bien perçue par mes élèves. Nous en avons gardé une trace dans le classeur de vie. (M1B)
Les enfants ont adoré le spectacle... Ils étaient ravis et on a pu parler en classe. Un sujet très intéressant! L'animation à l'école étaient très chouette, les enfants ont aimé faire des bulles de toutes les tailles.Bravo à Babeth pour la visite du centre culturel, c'était vraiment adapté aux enfants et ils ont bien participé.
Bravo à tous pour ce très beau projet! (P2)
Sortir de sa classe n'est pas toujours facile. (temps,déplacement) Les sorties me semblent d'autant plus importantes quand elles nous permettent d'apprendre. J'ai beaucoup apprécié la découverte de l'envers du décor au Staquet mais aussi la visite guidée du musée de folklore...!(P1)
L'activité sur les instruments de musique a été bien perçue par mes élèves. Nous en avons gardé une trace dans le classeur de vie. (M1B)
Les enfants ont adoré le spectacle... Ils étaient ravis et on a pu parler en classe. Un sujet très intéressant! L'animation à l'école étaient très chouette, les enfants ont aimé faire des bulles de toutes les tailles.Bravo à Babeth pour la visite du centre culturel, c'était vraiment adapté aux enfants et ils ont bien participé.
Bravo à tous pour ce très beau projet! (P2)
Le récit du référent culturel
Labo, ce n'est pas un vain mot. Toutes les classes, de la 1re maternelle à la 6e primaire, sont entrées dans le projet et chacune a intégré la thématique par un aspect, par une discipiline, par une découverte.
Les points forts : projet pour toute l'école ; thématique (nature, plantes...) riche artistiquement et culturellement, cohérente avec la région ; chaque angle proposé par les artistes en classe était différent, offrant une facette sur ce vaste champ d'exploration.
Dans les ++++ : la motivation et la qualité des artistes qui ont donné corps au contenu de chaque atelier.
Les moments de mise en commun nous ont semblé essentiels pour permettre à chaque élève, chaque classe, chaque enseignant de se sentir partie prenante d'un projet d'ensemble. Mais chaque classe a travaillé sur une découverte autonome.
Le défi de la coordination était à la hauteur de l'ambition du projet : faire participer chaque classe, chacun des partenaires, de tenter de coordonner les sorties culturelles (muséobus, sortie jardin, visite HNDR etc.). On salue le travail des enseignants qui, en plus des moments de réunion plénière, se sont concertés et ont défini leur approche.
Les moments de rituels et le fil conducteur étudié en amont ont été importants pour ne pas se sentir éparpillés. Un planning a été balisé. Mais le gros du travail ensuite, de va-et-vient à l'agenda, s'est effectué entre l'artiste et la classe.
Les points faibles : ils sont à la hauteur de l'ambition du projet ; la difficulté voire la lourdeur de coordonnitaion, de la communication régulière, à travers autant de classes, d'approches différentes, d'activités et propositions d'ensemble ; le nécessaire saupoudrage des activités pour que chaque classe puisse bénéficier d'ateliers artistiques. Dans certaines classes, il n'en fallait pas plus ; dans d'autres, l'exploration aurait pu être approfondie. Cela a donné un côté un peu speed...
La mise en route du projet a été plus tardive que prévu à la rentrée : notre centre culturel, à la rentrée de septembre, était moins disponible à cause de ses activités de rentrée.
Mais que ces remarques ne fassent pas mentir le ressenti général : c'était une très heureuse expérience et cela a renfrocé les liens de tous (y compris ceux entre le CCRM et ses partenaires que sont le Musée et les artistes)
NOUS INTEGRONS en PIECES JOINTES QUELQUES RAPPORTS D'UN ANIMATEUR DU CCRM QUI A SUIVI DES PROJETS
Les points forts : projet pour toute l'école ; thématique (nature, plantes...) riche artistiquement et culturellement, cohérente avec la région ; chaque angle proposé par les artistes en classe était différent, offrant une facette sur ce vaste champ d'exploration.
Dans les ++++ : la motivation et la qualité des artistes qui ont donné corps au contenu de chaque atelier.
Les moments de mise en commun nous ont semblé essentiels pour permettre à chaque élève, chaque classe, chaque enseignant de se sentir partie prenante d'un projet d'ensemble. Mais chaque classe a travaillé sur une découverte autonome.
Le défi de la coordination était à la hauteur de l'ambition du projet : faire participer chaque classe, chacun des partenaires, de tenter de coordonner les sorties culturelles (muséobus, sortie jardin, visite HNDR etc.). On salue le travail des enseignants qui, en plus des moments de réunion plénière, se sont concertés et ont défini leur approche.
Les moments de rituels et le fil conducteur étudié en amont ont été importants pour ne pas se sentir éparpillés. Un planning a été balisé. Mais le gros du travail ensuite, de va-et-vient à l'agenda, s'est effectué entre l'artiste et la classe.
Les points faibles : ils sont à la hauteur de l'ambition du projet ; la difficulté voire la lourdeur de coordonnitaion, de la communication régulière, à travers autant de classes, d'approches différentes, d'activités et propositions d'ensemble ; le nécessaire saupoudrage des activités pour que chaque classe puisse bénéficier d'ateliers artistiques. Dans certaines classes, il n'en fallait pas plus ; dans d'autres, l'exploration aurait pu être approfondie. Cela a donné un côté un peu speed...
La mise en route du projet a été plus tardive que prévu à la rentrée : notre centre culturel, à la rentrée de septembre, était moins disponible à cause de ses activités de rentrée.
Mais que ces remarques ne fassent pas mentir le ressenti général : c'était une très heureuse expérience et cela a renfrocé les liens de tous (y compris ceux entre le CCRM et ses partenaires que sont le Musée et les artistes)
NOUS INTEGRONS en PIECES JOINTES QUELQUES RAPPORTS D'UN ANIMATEUR DU CCRM QUI A SUIVI DES PROJETS
Le récit des élèves
Bons retours des élèves à propos des sorties culturelles au Centre Marcel Marlier, à la Maison de la Cuture de Tournai et à la Bibliothèque de Pecq en pratenariat avec la Bibliothèque de Mouscron.
Toutes les animations en classe données par l'asbl MômA ont été bien recues et se sont déroulées dans une bonne ambiance.
Les élèves étaient entousiastes et contents de participer au projet.
Toutes les animations en classe données par l'asbl MômA ont été bien recues et se sont déroulées dans une bonne ambiance.
Les élèves étaient entousiastes et contents de participer au projet.
Le récit de l'équipe pédagogique (direction, enseignants)
Heureux de participer à un projet avec toute l'école et de pouvoir se laisser porter par les opérateurs culturels. D'autres auraient bien été plus loin dans les thèmes et auraient voulu bénéficier de plus d'heures d'activités. (Dificile dans ce projet car plus de 200 élèves y participaient.)
Bons retours sur les sorties et les activités.
Bons retours sur les sorties et les activités.
Le récit du référent culturel
.
Le récit des opérateurs culturels
Coordonner un projet PECA demande beaucoup de temps.
Contents d'avoir participé au projet.
Manque de retour durant les projets. On peut vite lacher et ne plus savoir ou en est le projet.
Manque une rencontre avec les enseignants en début de projet.
Contents d'avoir participé au projet.
Manque de retour durant les projets. On peut vite lacher et ne plus savoir ou en est le projet.
Manque une rencontre avec les enseignants en début de projet.
Le récit du (des) artiste(s)
Heureus d'aller à la rencontre des enfants et de leur faire découvrir des manières de créer et de s'exprimer.
Le récit du référent scolaire
.
Le récit des élèves
Voir vidéo
Le récit de l'équipe pédagogique (direction, enseignants)
Témoignage de Samia Cherigui, enseignante en maternelle :
"Apres toute l'énergie et le temps consacré à faire connaitre et aimer la fresque "détestée", ce serait dommage de limiter cette appréciation à une seule génération d'élèves et d'instits.
Un livre exploitable dès la maternelle pourrait pérenniser cette connaissance et rendre cette oeuvre unique et précieuse dans les yeux de plusieurs générations d'élèves de La Roë.
Beaucoup de peintres ont été rendus connus aupres du très jeune public par le biais d'un livre "naïf", en utilisant un personnage ou pas...qui permettrait de peindre à la manière de...
Personne n'aurait envie de peindre à la maniere de Lionel Vinche, comme d'aimer "la fresque à la cantine" et pourtant l'équipe de l' Arret 59 y est parvenue!
Bel hommage à ce drôle de personnage...qui peint comme les enfants mais en monochrome.
Exemples de livres exploitables: " les couleurs de Monsieur Matisse" ou des livres interactifs comme les livres de Tullet Hervé...ou autre.
Il pourrait y en avoir un de Lionel Vinche.
Il faudrait "juste" trouver l'illustrateur qui accepterait de se lancer dans le projet..."
+ vidéo à venir
"Apres toute l'énergie et le temps consacré à faire connaitre et aimer la fresque "détestée", ce serait dommage de limiter cette appréciation à une seule génération d'élèves et d'instits.
Un livre exploitable dès la maternelle pourrait pérenniser cette connaissance et rendre cette oeuvre unique et précieuse dans les yeux de plusieurs générations d'élèves de La Roë.
Beaucoup de peintres ont été rendus connus aupres du très jeune public par le biais d'un livre "naïf", en utilisant un personnage ou pas...qui permettrait de peindre à la manière de...
Personne n'aurait envie de peindre à la maniere de Lionel Vinche, comme d'aimer "la fresque à la cantine" et pourtant l'équipe de l' Arret 59 y est parvenue!
Bel hommage à ce drôle de personnage...qui peint comme les enfants mais en monochrome.
Exemples de livres exploitables: " les couleurs de Monsieur Matisse" ou des livres interactifs comme les livres de Tullet Hervé...ou autre.
Il pourrait y en avoir un de Lionel Vinche.
Il faudrait "juste" trouver l'illustrateur qui accepterait de se lancer dans le projet..."
+ vidéo à venir
Le récit des opérateurs culturels
Persuadés de tout l'intérêt de mettre en place des résidences dans les écoles plutôt que de venir avec un projet clé sur porte. De sortir de la position de l'artiste-animateur pour véritablement co-créer avec les enfants et les enseignants un projet.
Le récit du (des) artiste(s)
Ravis de cette expérience de résidence à l'école. Modification du comportement des enseignants, de la "méfiance" à la confiance.